Le plus antique est celui-là de Palmiers, qui date du 1460. Il a été détruit en partie par des crues de la rivière et sa dernière grande oeuvre a eu lieu en 1880. En 1960 on a construit le deuxième pont, appelé de l'Université (un pont de l'époque Nouveau). En 1990 s'est levé le troisième, dénommé de l'Autonomie. Quatre ans plus tard le Pont Réel, le symbole et l'icône de la ville dans ces moments. Des eaux
à bas de ci-mentionné sont prévues d'autres deux dans le P.G.O.U.
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Cinq cents mètres, des eaux
à bas du Pont Réel, se lève une petite roue hydraulique, qui retient l'eau de la rivière, en élevant son niveau à son pas par la ville. Autour de
lui et des eaux à bas, il a donné le lieu pour une enclave d'humedales qui a été déclaré une zone Z.E.P.A., en dotant à la faune qui se défend dans la végétation épaisse et dans ses nombreuses mares, d'un degré spécial de protection environnementale.
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Il y a 50 ans, la rivière était une piscine immense naturelle où dans un été,
il se rendait il cite toute la ville. Entre Le Bec et le Pont de Palmiers, elle se trouvait, la "Plage" de la Société des "Amis de la Guadiana", arrangée avec toute espèce de services.
Dans le bord opposé l'Embarcadère de Vera, où les barques classiques étaient louées et quelques vins pouvaient être pris au soir accompagnées par des
bogues riches. |
Il y a années la ville a donné le dos à sa rivière. Négligé et sale, détruite sa végétation de rivera,
il espère une année après une année, pouvoir être intégré dans son centre-ville et le rendre digne.
Il manque une politique intégrale de toutes les institutions, pour sa récupération et son
maintien et aussi qu'une bonne fois, la Confédération fait ses plans déjà très
anciens effectifs pour avec lui.
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