De la place, on savait comment les positions du site ont été prises et
que les forces successives ont été incorporés dans les opérations
suivantes. Les premiers jours de mai se sont déroulés sans heurts. Le
temps est devenu très pluvieux de telle sorte que de grandes zones
autour de la ville ont été inondées, ce qui rend difficile le siège. Les
ingénieurs ont conçu la construction d'un barrage à la hauteur du pont
de Rivillas, de sorte que le front est de la forteresse a été inondé, de
la fête de San Roque au bastion de Santa Maria.
Simultanément sur
le front ouest, à côté de la Guadiana, les galeries de la mine ont été
ouvertes prêtes à s'activer au bon moment.
Le 3 mai, le général
Beresford s'approche de la place, procédant à prendre position et fermer
la clôture, afin de commencer les opérations qui permettent la
récupération de la place. Pour ce faire, il dispose d'une force de
12.000 hommes de l'armée portugaise, qui ont pris les différentes
hauteurs entourant la ville, expulsant les détachements Français
stationnés là-bas. Le 4 avril, une masse de quelque 6 000 fantassins est
apparue sur la route de Talavera, suivie par l'artillerie et les chars,
qui occupaient les petites altitudes entourant la ville. L'ennemi a
commencé des approches au glacis pour reconnaître les positions et les
batteries de la place, les repoussant immédiatement.
Le 6 par la
voie de l'Albuera, les parlementaires s'approchèrent qui montra une
lettre du général Sttevart, informant de l'encerclement total de la
place, et avertissant le gouverneur que, sous aucun prétexte, ne
permettrait le passage de civils dans les rangs alliés. À cette lettre,
le Français général a répondu en disant que les civils qui le
souhaitaient seraient autorisés à quitter la place, mais pas le retour.
Qu'ils ont procédé en conséquence. Le 8ème matin, une autre colonne a
été positionnée par les hauteurs de Santa Engracia, face à la garnison
là en évidence, qui a été soutenue par le feu du fort de San Cristobal.
Bien que les beitiateurs aient subi de lourdes pertes, les Français ont
dû abandonner leurs positions, se retirant dans la ville. Le même jour,
des tranchées ont été ouvertes à 400 mètres de San Cristobal et à 1000
mètres des forts de Picuria et Pardaleras.
Deux jours plus tard,
de Cabeza del Puente et San Cristobal, les troupes d'infanterie et la
cavalerie chargent contre les parallèles et les batteries au nord,
surprenant l'ennemi et détruisant les chantiers de construction. Le
contre-bilan allié a fait 18 morts et plus de 100 blessés parmi les
Français et la perte de 400 hommes. Le 11, les batteries alliées, san
Cristobal, qui a répondu vivement avec ses pièces, à laquelle son feu a
été rejoint par ceux de la hauteur du château.
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Mouvement de troupe sur le plan actuel de la ville |