REMPARTS DE LA FORTIFICATION DE BADAJOZ |
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La fortification bastionnée de la ville disposait d'huit remparts et deux remparts moyens, chacun d'eux identifiés de manière particulière. Ses noms, en partant de la zone de l'Est de la forteresse sont : le Saint-Pierre, de la Trinité, la Sainte-Marie, Roque Sain, le San Juan (un disparu dans les oeuvres d'élargissement de 1950), Santiago, le Saint-Joseph et Vicente Sain. Les deux semiremparts se situent, l'un adossé au seuil des Palmiers, et l'autre celui-là du Saint-Antoine, dans le point où l'ensemble se joint à la Forteresse, à la hauteur de la Porte de l'Alpendiz. Par útimo, près de la rivière la Guadiana se situe la plate-forme de Rond dans le lieu où la Tour - porte primitive de Pelages a existé. |
REMPART DE LA TRINIDAD | ||
Dans son intérieur se trouvait le Couvent des Trinitarios Descalzos, par lequel il a pris son nom. Le covento a été levé avant le 1645, puisqu'il apparaissait dans ce lieu dans un plan de l'époque. Quelques spécialistes maintiennent l'hypothèse dont il a été construit durant le règne d'Alphonse IX. Cela peut être difficile d'assurer puisque le roi est décédé peu de temps après la conquête de Badajoz. Les endroits que la ville a subis durant la guerre de l'Indépendance ont aplani l'édifice et un grand nombre de ses restes on a utilisé pour reconstruire sa structure, par ce que ceux-ci peuvent facilement être observés. Le rempart est resté assujetti dans son tracé, pour permettre que celui-ci restât à l'intérieur de la ville. Ce fait a conditionné la défense de la place, puisque cette enclave était facilement oeufs battus en neige depuis les coteaux qui l'environnent. Cela a motivé la construction des forts du Prince ou de la Picuriña et celui-là de la Trinité ou revellin de Roque Sain. |
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REMPART DE SANTA MARIA | ||
Il date du XVIIe siècle quand la ville s'est fortifiée comme conséquence des Guerres avec le Portugal. Elle a été également connue du nom de La Lagune, grâce à ce que dans les temps de l'occupation française, le ruisseau Rivillas a été retenu et ses fosses et ceux-là de la Trinité pouvaient être inondés. C'était le point choisi par le maréchal Wellinntong pour prendre à l'assaut la place de Badajoz en 1812. Dans ses environs sont tombés plus de 3000 soldats alliés qui il ont essayé de prendre à l'assaut, après un bombardement prolongé depuis la Picuriña qui a ruiné ses murs et a ouvert quelques brèches. Dans l'une de ses fosses un monolithe s'est levé, celui qu'il rappelle à tous les soldats tombés dans ces dates, pertencientes aux armées de Français et d'alliés. |
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REMPART DE SAN ROQUE | ||
Il se trouve au sud de la Porte de la Pilar et avec celui-là du San Juan il avait pour objectif couvrir avec son artillerie le disparu Fuerte de Pardaleras. Il a hébergé les Places de Taureaux de la ville. L'une primitive d'un bois et l'autre plus moderne que c'était la triste scène des exécutions franquistes après la prise de la ville en Août 1936. Il héberge actuellement le Palais des Congrès Manuel Rojas. |
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REMPART DE SAN JUAN | ||
Il a été abattu dans les années soixante du siècle passé, sous prétexte de permettre l'expansion de la ville. C'était l'un de loos mieux construits de la fortification et un artilleur était doté d'un grand pouvoir. Il a hébergé dans son intérieur le quartier connu de la Bombe. | ||
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REMPART DE SANTIAGO |
Cette enclave est l'une des plus précieuses historiquement, et en même temps l'une des plus maltraitées par les dirigeants responsables de la ville. À l'intérieur se trouvait un autre bastion antérieur (XVIIe siècle) et en dessous, une importante nécropole musulmane, où des centaines de tombes de l'époque musulmane sont apparues. Avec "la justification" de la construction d'un parking souterrain, les sépultures ont été rasées et le bastion du XVII divisé en deux. Il raconte la tradition que de son parapet le maréchal D. Rafael Menacho, gouverneur de la ville dans le premier siège en 1811, a été atteint par les éclats d'obus lancés par les Français les hommes de parier, mourir en quelques heures dans ce luagr emblématique. Selon les dernières investigations, la mort du général s'est produite dans les environs de la caserne de la bombe ou dans un bastion de San Juan. Après sa mort, le général Imaz, qui avait pris le commandement, capitula pour Français troupes. Un monument rappelle cette gede héroïque. Sur son côté nord a un tambour ou une oreille qui a gardé et battu la poterna à proximité à côté du bastion de San José. |
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REMPART DE SAN JOSE | ||
Comme aujourd'hui nous pouvons l'admirer, il a été levé au XVIIIe siècle, en se renforçant ses murs de forme considérable aussi comme ceux-là des alentours de Vicente Sain. Il défendait les chemins qui procédaient de la marge gauche de la Guadiana, l'une des routes d'un commencement des attaques qui se dirigeaient contre le fort palza de Badajoz. Une grande dépêche de ses fosses se conservent et logent le croissant unique (ou une lentille) qui a survécu de toutes celles qui protégeaient les rideaux qui unissaient différents remparts. |
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REMPART MOYEN DE LAS LAGRIMAS | ||
Il trouve adossé au seuil des Palmiers, dans son côté l'ouest. Il est établi d'un flanc et un visage et une petite batterie de trois canons qu'ils couvraient le chemin couvert qui parcourait la marge gauche de la rivière la Guadiana dans la direction du rempart du Saint-Joseph. |
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fotografias propiedad del autor |
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